Les troubles des conduites alimentaires
L'alimentation et les comportements alimentaires sont influencés par de nombreux éléments : génétiques, psychologiques, biologiques et environnementaux. Si ces comportements se dérèglent et entraînent une souffrance chez la personne, on parle de "trouble des conduites alimentaires" ou TCA. Parmi ces troubles, les plus connus sont l'anorexie mentale et la boulimie, mais il en existe d'autres, dont on parle beaucoup moins, comme l'hyperphagie boulimique. Ces troubles peuvent apparaître à tout âge, même si c'est à l'adolescence qu'ils surviennent le plus souvent (environ 5% des femmes de 14 à 35 ans seraient touchées). Lorsque ces troubles s'installent, la personne se retrouve enfermée dans le cercle vicieux d'une véritable addiction comportementale.
5 questions à se poser :
Vous faites-vous vomir parce que vous vous sentez mal d’avoir trop mangé ?
Vous inquiétez vous d’avoir perdu le contrôle de la quantité que vous mangez ?
Avez-vous récemment perdu plus de 6 kg en 3 mois?
Pensez-vous que vous êtes gros(se) alors que d’autres vous trouvent trop mince ?
Diriez-vous que la nourriture domine votre vie ?
Si vous répondez oui à plus de deux questions, vous pourriez souffrir d'un trouble alimentaire.
Vous voulez vous tester? Cliquez ici
5 questions à se poser :
Vous faites-vous vomir parce que vous vous sentez mal d’avoir trop mangé ?
Vous inquiétez vous d’avoir perdu le contrôle de la quantité que vous mangez ?
Avez-vous récemment perdu plus de 6 kg en 3 mois?
Pensez-vous que vous êtes gros(se) alors que d’autres vous trouvent trop mince ?
Diriez-vous que la nourriture domine votre vie ?
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Anorexie mentale
On parle d'anorexie mentale lorsque la personne est dans l'impossibilité de maintenir un poids corporel égal ou supérieur à celui minimal attendu compte tenu de l'âge et de la taille. C'est donc lorsqu'il y a une restriction des apports énergétiques comparativement aux besoin du corps.
La peur intense de prendre du poids est aussi très présente dans l'esprit de la personne. Elle devient obsédée par son poids et sa silhouette. Il y a aussi une altération de la perception de son corps ce qui peut entrainer un déni de la gravité de la maigreur. La personne va donc se trouver grosse alors que tous autour d'elle la trouvent maigre.
L'anorexie commence très souvent par un régime. Mais la personne perd le contrôle et son comportement de restriction devient une addiction. Elle se retrouve enfermée dans ses comportements.
Si la maigreur et l'obsession du corps sont les facettes les plus visibles de la maladie, une détresse psychologique et un mal-être sont souvent cachés sous ces symptômes.
La pratique intensive de sport, les vomissements provoquées ainsi que la prise de laxatif sont courants en plus des comportements de restrictions alimentaires.
On distingue deux types d'anorexie mentale; l'anorexie restrictive (seulement des comportements de restrictions) et l'anorexie avec crise de boulimie (période de restriction alterné de crise de boulimie).
La peur intense de prendre du poids est aussi très présente dans l'esprit de la personne. Elle devient obsédée par son poids et sa silhouette. Il y a aussi une altération de la perception de son corps ce qui peut entrainer un déni de la gravité de la maigreur. La personne va donc se trouver grosse alors que tous autour d'elle la trouvent maigre.
L'anorexie commence très souvent par un régime. Mais la personne perd le contrôle et son comportement de restriction devient une addiction. Elle se retrouve enfermée dans ses comportements.
Si la maigreur et l'obsession du corps sont les facettes les plus visibles de la maladie, une détresse psychologique et un mal-être sont souvent cachés sous ces symptômes.
La pratique intensive de sport, les vomissements provoquées ainsi que la prise de laxatif sont courants en plus des comportements de restrictions alimentaires.
On distingue deux types d'anorexie mentale; l'anorexie restrictive (seulement des comportements de restrictions) et l'anorexie avec crise de boulimie (période de restriction alterné de crise de boulimie).
Boulimie
Contrairement au diagnostique de l'anorexique, la personne boulimique présentera un poids souvent normal. Les crises seront suivis de comportements compensatoires comme le sport, le jeûn, le vomissement ou les laxatifs qui visent à limiter une prise de poids. Par contre, le poids peut varié, selon les périodes et en fonction des crises de boulimie, des comportements compensatoires et de l'intensité de la restriction.
La boulimie commence elle aussi souvent par un simple régime. Mais le cercle vicieux s'installe par la suite. La dépression et l'anxiété sont aussi souvent relié à la boulimie, la personne souffre énormément, se sent honteuse et angoissée. Il faut agir rapidement pour empêcher que les conséquences physiques n'affectent la santé de l'individu.
La boulimie commence elle aussi souvent par un simple régime. Mais le cercle vicieux s'installe par la suite. La dépression et l'anxiété sont aussi souvent relié à la boulimie, la personne souffre énormément, se sent honteuse et angoissée. Il faut agir rapidement pour empêcher que les conséquences physiques n'affectent la santé de l'individu.
Hyperphagie boulimique
L'hyperphagie boulimique ressemble de très près à la boulimie. La personne aura des crises de boulimie mais sans comportements compensatoires systématiques. Il y aura donc souvent une prise de poids. Ces crises entrainent un grand sentiment de culpabilité et de honte. La nourriture prend une place importante dans la tête de la personne et crée une détresse psychologique. Ce n'est pas simplement un déséquilibre alimentaire mais une souffrance qui entraine un comportement incontrôlé face à la nourriture.
Qu'est-ce qu'une crise de boulimie?
Mais qu'est-ce qu'une crise? C'est lorsque la personne mange une grande quantité de nourriture en un temps limité, avec un sentiment de perte de contrôle. Ce n'est pas du grignotage ou de manger beaucoup à un repas de fête ! Cette crise est en général suivie d'une grande culpabilité et d'un sentiment de honte tenace. Le sentiment de soulagement lors de la crise se transforme rapidement en dégoût et mépris de soi.